Se soumettre pour revenir à avant (en pire)
La panique insufflée dans la population justifie une fuite en avant de la recherche en bio-technologie. Celle-ci nous est présentée comme la solution à tous nos maux à venir. De la même façon, le traçage et le fichage numérique sont promis à un fort développement et cela tombe à point puisque l'industrie a besoin de nouveau débouchés.
Le personnel soignant est engagé́ dans la lutte contre le Covid-19 depuis son apparition. Il a été sollicité, réquisitionné́.... rappelé́ à travailler même positif au Covid. Depuis septembre, il est méprisé, ceux qui refusent d’obéir sont privés de revenus. Celles et ceux qui sont suspendu·e·s aujourd'hui étaient applaudi·e·s tous les soirs à 20h, il n'y a pas si longtemps.
Le chantage à la perte de salaire aura sans doute poussé une grande part de ceux et celles qui refusent l'obligation vaccinale à agir contre leurs convictions (le gouvernement compte d'ailleurs sur la fin de la gratuité des tests pour soumettre les plus déterminés). C'est ainsi que se construit un pouvoir fort : en brisant les résistances par tout moyen.
C'est surtout pour pallier à l'état de délabrement des services de santé qu'ont été prises des mesures autoritaires et coercitives de lutte contre la contamination (confinement, couvre-feu, passeport vaccinal…). C'est parce qu'environ un tiers de la population est en mauvaise santé que la maladie est à craindre. Les gouvernements successifs n'ont pourtant pas agi contre les causes de cette malsanté (pesticides, malbouffe, pollutions, souffrance au travail…). Au contraire, ils ne cessent de mentir pour protéger les empoisonneurs (amiantes, chlordécone, néonicotinoïdes, Médiator, électromagnétisme…). La crise sanitaire est antérieure à l'apparition du SARS-COV2 !
La tâche à laquelle collaborent avec zèle dirigeants et médias est de convaincre toute la population de se faire vacciner avec des produits mis au point en quelques mois, qui court-circuitent les procédures classiques de mise sur le marché́ et qui sont officiellement en phase expérimentale pour deux ans encore. Les enfants qui ne présentent presque aucun risque devant cette épidémie doivent-ils participer massivement à cette expérimentation, eux aussi ?
La panique insufflée dans la population justifie une fuite en avant de la recherche en biotechnologie présentée comme la solution à tous nos maux à venir. De la même façon, le traçage et le fichage numérique sont promis à un fort développement et cela tombe à point puisque l'industrie a besoin de nouveaux débouchés. Les smartphones sont des terminaux de police à disposition de tous ceux qui contrôlent leurs semblables, et au service de l'Etat. La 5G améliorera encore le dispositif !
Aujourd'hui, alors que le chômage de masse et la catastrophe écologique s'accélèrent, la population se divise entre ceux qui perçoivent que les technocrates sont prêts absolument à tout pour défendre le système politico-économique existant, aux dépens des populations ; et ceux qui pensent que ces technocrates font ce qu’ils peuvent et qu’il faut exiger d’eux qu’ils nous protègent encore mieux.
Quelques incohérences (parmi d'autres) dans la politique dite sanitaire en cours :
• On peut s'entasser dans le métro et les supermarchés mais il faut montrer un QR code pour s'asseoir dans une salle de cinéma au trois quart vide
• Il faut subir trois injections ici (à quand la quatrième?) pendant qu'une bonne partie de la population mondiale est privée de vaccin alors qu'à partir de fin 2019, l'épidémie s'est répandue sur la planète entière en à peine deux mois
• « nous sommes en guerre » et les cliniques privées ne sont jamais réquisitionnées
C'est le refus des autorités d'augmenter les capacités hospitalières qu'il faut dénoncer
Solidarité avec les suspendu.e.s – Liberté vaccinale – Non au Pass
On croit qu'en obéissant ça va s'arrêter alors que c'est parce qu'on obéit que ça continue !
Rendez-vous les samedis matin à partir de 11H00, Croix Blanche à Mauléon-Licharre